Alpha et Oméga : Chapitre 1

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il y a 8 ans

 Cela faisait cinq ans que j’avais trouvé Alaska et Attila lors d’une randonnée en montagne. Ces deux petits bouts, perdus, seuls et littéralement tremblant de froid. Je les avais ramenés à la maison, nourris et réchauffés.

J’avais de quoi être fière d’eux et de moi. Ils étaient le couple Alpha d’une meute de douze loups. Enfin, plutôt treize, car je pouvais m’inclure dedans. J’étais totalement intégrée à la meute. J’étais avec Alaska, la seule à oser me « rebeller » contre Attila. Bon rebeller est un bien grand mot. Vu que pour moi, ils restent tout les deux mes deux peluches. Certes, avec des crocs et des griffes mais mes peluches quand même.

Et j’étais pour eux une maman, donc j’avais quand même certains privilèges !

Me concernant, j’avais sous ma responsabilité, le secteur des loups de la réserve au grand complet. Tout passait par moi. Après tout, je passais quasiment ma vie à la réserve et auprès de la meute. J’avais mon diplôme de soigneur et je connaissais chaque membre de la meute, sa place, ainsi que leurs différents soucis de santé ou goût alimentaire. Et, je bénéficiais de la faveur du couple Alpha.

Il n’était pas rare que mes collègues, trouvent mes affaires dans la salle attenante à l’enclos des loups et moi endormie auprès d’eux, comme si c’était parfaitement normal. Ce qui pour moi l’est. Je devrais peut-être me présenter, je m’appelle Cassandra. Cassy pour les intimes et je me rapproche de la trentaine.

Vu ce que je viens de vous dire, vous devez penser que ma vie sociale ne doit pas être bien développée. Vous avez parfaitement raison, je suis une solitaire de nature, éprise de liberté et qui a appris bien trop tôt que la vie pouvait être bien cruelle. Je me suis donc tourné vers les animaux. Ayant un certain feeling avec les animaux sauvages, j’en ai fait mon métier. J’en ai d’abord soigné toutes sortes, avant de me spécialiser sur les loups avec Alaska et Attila.

J’ai eu cependant ma période de socialisation. Elle m’a appris que, aimer quelqu’un est douloureux, même si c’est aussi une grande joie et un pur bonheur.

Je reste cependant quelqu’un qui à besoin d’un certain cadre et qui a besoin d’être remise dans le droit chemin de temps en temps. C’est pour cela que la vie avec la meute me convient très bien d’ailleurs. Mais c’est aussi pour cela, que j’ai besoin de quelqu’un pour me recadrer et je suis une adepte de la fessée et du BDSM. J’ai fait des rencontres et un petit bout de chemin dans ce monde. Des rencontres que je préfèrerai oublier pour certaines et d’autres carrément fabuleuses. Et puis, j’ai rencontré Théo.

La première fois que je l’ai vu, je savais qu’il serait capable de prendre le dessus sur moi au besoin. J’ai beau être gentille, je sais être sacrément bornée, têtue, éprise de liberté et sauvage, quand je mis mets.

Je ne m’étais pas trompée. Quand nous nous sommes décidés à commencer une relation d’attitrée, nous avions mis en place des règles. Règles qui faisaient en sorte de me donner un rythme de vie régulier. Pour quelqu’un passant sa vie entourée de loups, vous vous doutez bien que, la régularité des repas, du sommeil, etc, était clairement le cadet de mes soucis.

Pendant quelques temps, il me laissa la main libre. Mais il se rendit vite compte qu’au bout d’un mois, il n’y avait pas vraiment d’évolution.

Il commença d’abord par venir faire les courses avec moi, pour une quinzaine de jours. Il ne devait rien rester dans mon frigo à son prochain passage chez moi. Si ce n’était pas le cas, je risquais fort d’avoir du mal à m’asseoir pour un moment. Mon frigo fut vide à son retour.

Non pas que j’eus peur de la sanction, non. Simplement, j’ai aussi besoin de m’alimenter. C’est chose que j’ai faîtes, sauf, qu’il n’avait en aucun cas précisé, que je devais le faire à des horaires normaux….

Je jouais sur les mots ? Oui, absolument !

Je fus prise au piège à mes premières vacances chez lui. Je picorais au repas et avais tendance à grignoter en dehors. Enfin grignoter…. Plutôt manger un jambon-beurre à 23h le soir.

Au bout de cinq jours, il ne pouvait plus mettre cela sur le compte du changement d’environnement, mais bien sur une habitude alimentaire. Quant-il me posa la question, je lui répondis la vérité. Non, je n’avais pas réussi a trouver un rythme plus raisonnable et que certes, je n’avais pas vraiment essayé.

Ma réponse ne lui fit pas plaisir, mais elle avait le mérite d’être honnête et j’assumais toujours les conséquences de mes actes. Je me souviens comme si c’était hier de cette punition. C’était un lundi soir de printemps.

FLASHBACK

Nous venions de rentrer de promenade et malgré l’ambiance détendue du moment, nous savions lui comme moi, que cela n’allait pas vraiment durer.

Après nous être rafraîchit, il se posta droit devant moi et me dis :

_ Je crois que nous avons une affaire à régler tous les deux.

_ Oui, je suppose qu’il est temps. Il est inutile de faire durer ce genre de chose.

_ Je suis bien d’accord avec toi. Alors dis-moi, ce que je te reproche

_ De ne pas mettre en application tes consignes et t’avoir toujours un rythme de vie décalé.

_ Exactement. Et donc, cela mérite une punition, n’est-ce pas ?

_ Oui, monsieur.

_ Bien. Alors pour l’instant, tu vas au coin, mains sur la tête. Dépêche-toi !

Je m’exécutais sans tarder. J’entendis le bruit d’une chaise qu’on déplace, puis des mouvements derrière-moi. Il me sortit du coin par l’oreille, me ramena à la chaise, s’assit dessus et m’ordonna de baisser mon pantalon. Il eut un long moment de flottement. Je grinçais des dents. Pour moi, ce n’était pas mon rôle. C’était lui le fesseur, pas moi. Une claque sur la cuisse me signifiant son impatience, me fit obtempérer.

Une fois cela fait, il me coucha sur ses genoux et baissa ma culotte. Il me fessa pendant dix bonnes minutes tout en me sermonnant. Ses claques qui étaient d’intensité moyenne au départ, prenaient en puissance au fil du temps. Je finis par danser sur ses genoux tellement mes fesses me chauffaient. Elles avaient une jolie couleur rouge vif. Il me releva de ses genoux et me renvoya au coin en m’interdisant de toucher à mes fesses. L’envie me démangea sérieusement, mais je ne voulais pas le mettre plus en colère. Il me fit sortir du coin cinq minutes plus tard et m’ordonna de poser les mains sur le siège de la chaise.

_ Je vais te donner 20 coups de canne anglaise, afin que je sois sûr que tu ne recommence pas.

Et je veux que tu les comptes. C’est clair ?

_ Oui, monsieur.

_ Bien, alors on y va. Dit il en faisant tomber le premier coup

_... Un….

Il me coupa le souffle. Avec les fesses déjà chauffées par la fessée manuelle, j’eu l’impression qu’une barre de feu se posa sur mes fesses. Je dus faire un effort pour ne pas me redresser. Au bout de quinze coups, j’étais en sueurs et des larmes perlaient. Mais je méritais cette punition. Il m’avait laissé quasiment quatre mois, pour équilibrer mon rythme de vie. Je pleurais au vingtième coup.

Il ne me renvoya pas au coin et me laissa reprendre mon souffle. Il me prit ensuite dans ses bras en me disant que j’étais pardonnée mais que je n’aurais pas le droit à la crème, il voulait que je garde les marques quelques temps, comme un rappel.

FIN DU FLASHBACK

Ce fut une première punition mémorable. Ce ne fut pas la seule, car par la suite, il y en eu d’autre, pas beaucoup certes. Mais tout cela fait partie du passé. J’ai quitté Théo depuis. Notre relation avait évolué et plutôt dans le bon sens. Mais au fil du temps, je me suis rendue compte que malgré tout l’amour que je lui portais, je n’étais pas une femme pour lui je n’étais pas celle qu’il lui fallait. Donc, j’ai commencé par m’éloigner petit à petit. Mes venues sont devenues moins fréquentes, puis je lui ai demandé de ne plus être son attitrée. Ce ne fut pas simple, mais étant quelqu’un de très respectueux, il accepta. Puis, je ne suis plus venue chez lui et je lui donne très peu de nouvelle.

Je viens encore de passer une nuit auprès des loups. Décidément, cela devient très récurant. Trop, comme dirais Fitg, mon collègue et meilleur ami. Pour lui, je n’ai plus de vie depuis que j’ai quitté Théo. C’est peut-être vrai, mais c’est mon choix. Je vais donc prendre une bonne douche chaude avant de préparer le petit déjeuner des loups et le mien. Je passe devant mon téléphone, où je vois un appel manqué. Je regarde de qui et je vois écrit Théo. Il y a un message vocal, mais je ne l’écoute pas. Cette voix chaude, cela fait un moment que j’aimerai l’entendre, mais ce serait se faire souffrir pour rien.

Je retourne donc dans la cuisine faire couler mon café et préparer le petit déjeuner.

La meute a le droit à sa ration de fruits, le loup étant omnivore, j’ai donné l’habitude à la meute d’avoir des fruits le matin. J’apporte donc à la meute son petit déjeuner puis viens récupérer le mien. Je m’installe auprès d’Alaska et d’Attila. De toute façon, je me ferais grogner dessus si je ne venais pas auprès d’eux. Je leur ai donné de mauvaises habitudes à ces deux-là, mais ils sont tellement beaux. Une fois leur repas fini, Alaska viens s’allonger auprès de moi en posant sa tête sur mes genoux et Attila, s’amuse avec mes cheveux que j’ai de lâchés pour une fois. Il faut dire que vu qu’ils sont long jusqu'à plus de mi-dos on peut comprendre qu’ils le soit rarement.

C’est le soudain arrêt d’Attila de jouer avec mes cheveux qui me sort de ma rêverie. Dans la foulée, Alaska se redresse et fixe un point à côté de l’entrée de l’enclos d’hiver. Une personne se trouve là. L’agitation d’Attila et le soudain rassemblement de la meute, m’indiquent que ce n’est pas une personne connue d’eux. Bon quel est l’inconscient venu rendre visite à la meute en rentrant carrément dans l’enclos d’été. Certes, nous sommes encore au printemps, donc la meute n’y a pas accès mais cela reste son territoire.

Je tourne la tête vers la grande baie vitrée, où Fitg, me fait de grands sourires avec le pouce en l’air. D’accord, c’est lui qui a fait entrer cette personne. Je m’arrête net, quand j’entends la voix de la personne me dire bonjour. Non ce n’est pas possible. Théo… Moi qui ne voulais pas réentendre cette voix chaude qui résonne en moi, voilà qu’il est carrément devant moi. Fitg, espèce de traître !!!!

Attila se basant sur ma réaction, se poste devant moi, rendant les trois derniers mètres compliqués, car à chaque pas, je manque de lui marcher dessus. Alaska se trouve à ma droite, pas aussi tendue que son alpha mais méfiante. Je finis de me rapprocher et dit :

_ Bonjour Théo

_ Tu es bien entourée dis-moi

_ Oui, mais cela ne devrait pas t’étonner. Je ne t’ai jamais caché mon métier.

_ Ce n’est pas le cas. Cassandra, il faut qu’on parle

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